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 harlowe ◮ head of nation.

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Harlowe McKehoan
Harlowe McKehoan
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MessageSujet: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyDim 26 Aoû - 22:16

Harlowe McKehoan

« Dieu peut être de chair et de sang »


Mon nom ne vous dit rien ? Je n'en suis guère étonné, je suis plus connu sous le nom d'Angol. Maintenant c'est vous qui vous étonnez, oui je suis un humain de trente-six ans. Ah ? Vous m'en auriez donné vingt-cinq ? Cela arrive souvent, ne vous en souciez pas. J’appartiens à l'Eden et j'en éprouve une certaine fierté. Mes activités ? Et bien je suis le majeur dirigeant de la secte d'Enoen et du territoire de l'Eden. Cependant, ce que j'aime le plus chez moi c'est que je suis tout simplement normal. Si je suis de votre camps ? Et bien pour ma part je suis pro-Eden. Hum. Une dernière chose à savoir ? Ah oui ! J'habite là où me portent mes voyages et je suis incarné(e) par Harvey Newton Haydon. Vous avez fini vos questions ? Je peux vous tuer maintenant ?

by wanderlust.
Comment suis-je ?

« Je suis le chat, toi la souris. »

Les sens-tu ? Mes mains empoignées sur tes testicules ? Tu bouges, je te les broies. C'est désormais comme ça que ça marche par ici. Je plaisante, c'est ainsi depuis des siècles. Mais vraisemblablement, il y a encore des gens assez fous pour remettre mon pouvoir en question. Oh, bien sûr, je ne pense pas que l'attaque soit personnelle. Ces gens-là, je veux dire, la plèbe ou les traîtres qui n'ont que faire de leur misérable, ne me connaissent pas. Ils se révoltent parce que c'est dans l'air du temps, ni plus, ni moins. La plupart ne sont pas même au courant de mon existence. Donc, non, ils ne m'en veulent pas, à moi. Ils en veulent à Angol. Or, je suis Angol. Même s'ils ne le savent pas, moi, je le sais. Et c'est notamment plus important ce que je sais, plutôt que ce qu'ils savent. Dans ce cas-ci, ça me fournit une longueur d'avance non négligeable. Une longueur d'avance qui, ici, maintenant, se traduit par le fait que je te castre si tu remues. Nous voilà dans une situation délicate, n'est-ce pas ? Enfin, te voilà dans une situation délicate. Je ne suis pas à plaindre dans l'histoire, je l'avoue. Un bête réflexe manuel de ma part et tu ne seras jamais père. Tu l'es déjà ? Cela ne change strictement rien : je t'entaillerai jusqu'à te causer une hémorragie, mon petit, et tu ne seras donc plus jamais père. J'arrive toujours à mes fins, crois-moi. Cette partie-là est facile, je te tiens par le bout... j'allais dire du nez mais ce n'est pas vraiment ça... Tu m'obéis, tu y es contraint. Je n'ai donc aucun mérité. Pas cette fois-ci, en tout cas. Mais ôte-toi cette idée de ta petite tête : je ne suis pas du genre à renoncer. Tu pourrais pointer une arbalète devant moi, je réussirais quand même à t'abattre. J'ai des ressources. Plus que toi, apparemment. Je tiens fermement Wonderland entre mes mains. Peux-tu seulement t'en rendre compte ? Sûrement pas. Jusqu'à présent, je n'étais à tes yeux qu'un vulgaire marchand itinérant. Quelle naïveté. C'est beau. J'aime discuter avec toi, homme. J'aime tellement jouer avec la nourriture. Non, détends-toi, je plaisantais. Tu es irrité contre moi. Tu me hais ? Tu peux. Je t'en donne la permission, homme. Hais-moi. J'aime ça. Oui, ne me regarde pas avec ses yeux-là, je l'avoue : j'aime ça. Oui. La haine des autres est la meilleure des reconnaissances. J'arrive à croire que j'en ai besoin pour me sentir vivant. Comment pourrais-je apprécier mes actions si les autres ne les contestent pas ? Mais le mieux, mon ami, c'est lorsqu'ils sont impuissants face à ce que je fais. J'entoure ce monde de ces deux bras cicatrisés que tu vois, là, et je l'étouffe. Et à part, crier, gémir, se plaindre, aucun n'a eu le courage de faire quoique ce soit. Là, je me sens puissant. Aussi puissant qu'en cet instant, où je peux décider de la prospérité ou de l'extinction de ta misérable lignée. N'est-ce pas irritant, d'être impuissant ? Tais-toi, homme. Ou tu pourrais le rester à vie, impuissant. Regardez-le s'égosiller. Paroles en l'air. Tu veux ma mort, je sais. Vous voulez tous ma mort. Je vais te confier une chose, mon ami. Même mes plus proches conseillers veulent ma mort. Ils l'espèrent, pour différentes raisons en fonction des individus. Pour des futilités, la plupart du temps. Mais toi, pourquoi veux-tu ma mort ? Non, ne réponds pas. J'ai mieux, comme question, et hautement plus intéressant : pourquoi est-ce toujours l'homme en position de faiblesse désirant la mort de l'homme en position de force ? Ne m'oblige donc pas à refermer mon poing. Dictateur ? Tu me vexes. Allons... Tu le sais, j'espère, je fais tout ça dans votre unique intérêt. Au final, c'est un mal pour un bien. Même si, je te l'accorde, un nombre tout à fait déroutant de personnes sont de ton avis. Pourquoi tant de haine ? La prochaine cérémonie de Dagnar réfrénera leurs ardeurs, homme, je t'en fais la solennelle promesse.

As-tu peur de mourir ? J'ai toujours su pister la mort. Détecter, remarquer ces détails insignifiants que les yeux d'autrui ne pouvaient déchiffrer, ça a toujours été mon fort. La mort, plus qu'aucune autre chose, était un phénomène tellement simple à déceler. Je m'en étais rendu compte très tôt. Dès mon plus jeune âge, à vrai dire. Lorsque les carrosses de Mère défilaient dans les rues de l'Eden, je parvenais déjà à saisir le délicat fumet de la mort qui, quelques mètres plus loin, touchait de plein fouet les quartiers du purgatoire. Et je vomissais bien souvent. Mon jeune corps rejetait ces effluves qui empestaient la désolation et la souffrance ; il était bien trop pur, bien trop innocent pour pouvoir les conserver plus longtemps. Les souillures devaient ressortir, je ne pouvais les assumer à moi tout seul. Ainsi, oui, j'ai été traumatisé par la mort. Ainsi, oui, j'ai peur de la mort. Quoiqu'il y aurait quelques rectifications à apporter sur cette affirmation affreusement dégradante pour mon honneur et ma condition d'homme. Je n'ai plus peur de la mort : la mort ne peut m'atteindre. Elle ne saurait m'atteindre en cet instant précis. Elle m'atteindra. Un jour. Pas aujourd'hui est trop beau pour qu'elle ose. De toute manière, je vois mon avenir glorieux. La mort ne viendra pas dans l'immédiat. Je la verrai venir bien avant et j'aurai ainsi le temps de m'organiser. Je suis paisible, à présent. J'ai bien trop de choses à faire encore pour qu'une chose aussi pitoyable que la mort vienne m'empêcher de les réaliser.

Because it's my story

« Je reconnais la lignée humaine comme la plus pure et la plus puissante de toutes. Je devrai, et ce jusqu'à ce que ma vie s'achève, allégeance et fidélité à ses dirigeants et jamais je ne remettrai leur légitimité en question. Pour m'avoir couvert de privilèges et placé sous leur protection, j'honorerai à jamais la secte d'Enoen par ma présence à leurs côtés et mon soutien indéfectible. Je sais leurs droits et leurs devoirs à mon encontre et les accepte en tout état de cause. Voilà ce que je jure devant le Sénat de l'Eden. » Je dus relire le parchemin une seconde fois. Les mots résonnaient dans ma tête ; leur sens m'échappait. Quelque peu impressionné par la délicate et solennelle écriture, je consultai Père du regard, ne sachant que faire d'autres. Il me dévoila un beau sourire, franc et confiant, et je sentis, non sans un court sentiment d’apaisement, ses mains rêches, fortes, appuyées contre le dos du siège. Puis il les apposa sur mes épaules, comme pour m'annonce que tout allait bien se passer. Du haut de mes sept ans, encore empli de candeur et d'innocence, j'étais tout simplement perdu. Je ne saisissais pas la signification de ses quelques lignes auxquelles Père et Mère accordaient toutefois tant d'importance. Mère avait exigé de moi que je les apprenne par coeur, afin que je puisse les répéter, avec franchise, "lorsque le moment sera venu", selon ses propres mots. Et Père y veillait au grain. Je m'appliquais, pour ne pas les décevoir, mais au fond de moi-même, je n'en avais cure. Ainsi, je relisais sans cesse les lignes. Je m'entraînais à voix haute. J'allais même jusqu'à utiliser des moyens mémo-techniques, à esquisser un plan, à déterminer les grandes idées, puis à retranscrire le discours tel quel. A force d'entraînement, à force de répétition, les lignes se gravaient dans mon esprit. Elles s'y insinuaient si bien que les idéologies, les valeurs qu'elles véhiculaient implicitement se faufilaient au milieu des rêves d'enfants. Une fois incrustés, ces lignes resteraient là, dans un coin de mon être, à attendre que le corps qui les abrite soit suffisant mature pour faire preuve de soumission. Et alors, les idées perverses se réveilleront et guideront mon existence. Mais patience. L'heure n'était pas encore arrivée, à cet instant-là. Je continuais de réviser les lignes, inlassablement, avec la méticulosité d'un enfant prêt à tout pour satisfaire ses parents. Mais l'intérêt n'y était pas. Mon esprit demeurait ailleurs, dans une autre dimension : celle du jeu. En plein labeur, le jeune garçon que j'étais songeait à des collines verdoyantes où courir jusqu'à en perdre son souffle, aux versants fertiles de montagne où faire de la luge les soirs d'hiver, aux lacs gelés où enchaîner les glissades sensationnelles. Rien ne m'accaparait plus l'esprit que les animaux que je rêvais de recueillir, de guérir, d'éduquer. Je rêvais d'un immense plateau d'échecs où je serai le roi. Je désirais ma couronne et mon sceptre, plus encore que d'avoir la puissance associé à mon rang. Puis la nuit venue, les cauchemars me harcelaient sans relâche. Les sorcières, les vampires, les monstres m'attaquaient jusque dans ma couche. Et toutes les nuits, je me réveillais en sueur. Dans un premier temps, j'étais tout simplement terrifié. Mais dans un second temps, la satisfaction reprenait le dessus, car j'étais certain de finir la nuit dans les draps chauds et ô combien rassurants de Mère. Or, ces fameuses lignes me rappelaient toujours à l'ordre, et me tiraient bien souvent de mes songes d'enfant. Je les assimilais par devoir. Je les apprenais parce qu'on m'en donnait l'ordre. C'était aussi simple que cela. « Pourquoi dois-je mémoriser cela, déjà ? » m'étais-je un jour entendu demander à Mère. Je me souvenais de cet air vide alors accroché à son visage. Elle n'en savait probablement rien elle-même. Gênée, elle s'était tournée vers Père avec un regard désespéré. Il avait alors évité mon interrogation. « Eh bien parce que Père et Mère te le demandent, voyons. Tu ne veux pas nous attirer des ennuis, n'est-ce pas ? Allons, il le faut. C'est tout. » Ou peut-être était-ce là son unique réponse.

La cérémonie battait son plein et ce, depuis des heures. La fatigue commençait à me gagner. Mes jambes se faisaient ankylosées ; mes paupières lourdes. Heureusement, je parvenais à distinguer la fin du tunnel. Le cercueil descendait déjà de l'estrade et, suivant le parcours de rails, glissait impitoyablement vers le brasier. Ça puait la mort, inutile de le préciser. Après une attente insoutenable, brûler le corps de Mère apparaissait à mes yeux comme une espérance trop longtemps refoulée. Père, à mes côtés, assistait aux rites sans broncher, sans même verser une larme. Il y avait là tous les grands de l'Eden, tous membres de la secte d'Enoen. Ils venaient rendre un dernier hommage - un hommage silencieux, presque gêné - à une de leurs plus fidèles adeptes. J'avais envie d'interroger Père mais il me fit taire d'un signe sec. Cela confirma mes pensées : ils avaient tous terriblement honte. Mais malgré tout, ces gens-là se faisaient un devoir de venir assister au dernier voyage de Mère. Le malaise omniprésent paraissait de plus en plus lourd à supporter. Ils se sentaient coupables, parce qu'ils l'avaient en quelque sorte condamné. Je m'amusais à les observer. Je n'étais en effet pas assez triste pour me concentrer sur le propos des funérailles. Non pas que je n'aimais pas Mère... Bien au contraire, elle avait été ces derniers années tout à fait admirable avec moi, patiente et attentive. Autant lorsque j'étais plus jeune elle n'était jamais parvenue à s'occuper correctement de moi, autant dès que je fus assez mature pour comprendre les choses de la vie - de notre vie, si particulière et étrange qu'elle semblait à mes yeux -, Mère se chargea de m'écouter. Elle recueillait mes interrogations de gosse et se hâtait de me faire comprendre l'existence de la secte d'Enoen, entre autres, et les buts qu'elle poursuivait. Puisque notre vie quotidienne était mêlée à ce groupuscule, je me devais de le comprendre. Grâce à elle, dès l'âge de quinze ans, je sus pratiquement tout ce qu'il y avait à savoir à son sujet. Ses us, ses rites, ses secrets. Tout. Mère n'avait jamais été ni influente ni très haut-gradée dans la hiérarchie de la secte d'Enoen. Et c'était justement à cause de sa position banale que les plus hauts dirigeants ne se méfiaient pas d'elle. Ainsi, Mère avait été importante pour moi, car elle m'avait tout enseigné, là où Père se bornait et finissait par s'énerver. Cependant, une fois qu'elle avait succombé à la vieillesse, c'était fini : elle n'était plus de ce monde, et ne comptait plus pour moi. Je n'avais de l'affection que pour les vivants ; les morts m'étaient indifférents. De ce fait, la tristesse ne me submergeait absolument pas, tandis que l'embarras rongeait toutes les autres personnes présentes dans cette petite pièce. Mère n'avait plus aucune valeur à leurs yeux, elle était morte de vieillesse. Et je le voyais bien, tous la méprisaient uniquement parce qu'on leur avait dit de la mépriser. Lorsque les rites furent enfin finis, quand les trompettes cessèrent et quand les tambours ne cognèrent plus contre ma cage thoracique, j'osai demander à Père : « Pourquoi Mère est morte, déjà ? » Je connaissais mieux que quiconque la réponse. Père sembla apercevoir l'étincelle d'insolence dans mes yeux, mais il ne s'en offusqua pas. Il me fixa de son regard placide et me répondit, d'un ton cynique que je ne lui connaissais pas. « Elle est morte parce qu'elle a trop vécu. » Et, en effet, c'était le cas.


ethen (isham)

♦ Age : quinze ans.
♦ Comment as-tu rejoint le forum ? via capucine-chérie. <3
♦ Qu'en penses-tu ? gosh. gosh. gosh.
♦ Une requête ? déjà exaucée.
♦ Un double compte ? pas encore, babe. patience.
♦ Code dans le règlement ok by Lorleen
♦ Un dernier petit mot d'amour ? nah.


Dernière édition par Harlowe McKehoan le Jeu 30 Aoû - 21:45, édité 17 fois
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Lorleen Ivanov
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 27 Aoû - 6:22

Bienvenueeeeeeeeee ici beau goss, contente de te retrouver ici :red:
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Syrianael
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 27 Aoû - 7:41

Bienvenue *w*

Donc comme tu le sais très bien tu as deux semaine pour faire ta fiche et tu peux demander un délai,nous envoyer un mp si tu as besoin de quoi que ce soit et nous faire pleins de câlins harlowe ◮ head of nation.  4023418736

J'adore déjà ton perso *w* nous faudra des liens ♥️
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Harlowe McKehoan
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 27 Aoû - 7:47

merci les filles. heureux d'être de retour. :pervers:
j'vais m'faire plein de persos par ici. harlowe ◮ head of nation.  3181402168
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Gabriel Sheytan
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 27 Aoû - 10:04

J'aime te voir motivé harlowe ◮ head of nation.  3181402168 Bon courage pour ta fiche ! harlowe ◮ head of nation.  2083469563
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 27 Aoû - 10:58

merci Capu. :calin2:
je l'ai déjà commencée, t'as vu. la classe.
pour l'avatar, juste, ça te dérange pas qu'Angol soit aussi jeune & au style étrange ?
sinon, je change, hein. :mdr:
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Gabriel Sheytan
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 27 Aoû - 13:27

Bha change juste l'âge d'apparence quoi ^^' Car là il fait pas vraiment trente ans, mais ce n'est pas un soucis, car tant qu'il reste avec ses trente-six ans et qu'il se shoot aux potions de rajunissement c'est bonXD
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Harlowe McKehoan
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 27 Aoû - 13:37

c'est modifié. :calin2:
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Gabriel Sheytan
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyMar 11 Sep - 8:53

Tu t'en sors avec ta fiche ? ^^
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyVen 14 Sep - 18:46

t'inquiète pas, elle est toujours d'actualités.
j'essaie de m'en dépêtrer ce week-end. harlowe ◮ head of nation.  2752390508
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Lorleen Ivanov
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyLun 24 Sep - 8:50

Alors Isham, tu en es où? On a hâte que tu mettes le point final à ta fifiche :hope:
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Harlowe McKehoan
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  EmptyMar 25 Sep - 17:21

j'ai trop de devoirs, j'ai pas le temps de la travailler en ce moment, j'suis désolé. harlowe ◮ head of nation.  456023687
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MessageSujet: Re: harlowe ◮ head of nation.    harlowe ◮ head of nation.  Empty

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