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Lady Cambridge
Lady Cambridge
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MessageSujet: Green tea please ! Thank you.   Green tea please ! Thank you. EmptyLun 4 Mar - 2:25

Lady Cambridge

« Never forget what you are, for surely the world will not. Make it your strength. Then it can never be your weakness. Armour yourself in it, and it will never be used to hurt you. »


Mon nom ne vous dit rien ? Je n'en suis guère étonné, je suis plus connu sous le nom Red Beauty. Maintenant c'est vous qui vous étonnez, oui je suis une succube de 932 ans. Ah ? Vous m'auriez donné 21 ans ? Cela arrive souvent ne vous en souciez pas. J’appartiens à oneirios et j'en éprouve une certaine fierté. Mes activités ? Et bien je suis une serveuse dans un tea house. Cependant, ce que j'aime le plus chez moi c'est que je peux te faire croire ce que je veux, tu me croiras. Si je suis de votre camps ? Et bien pour ma part je suis neutre. Hum. Une dernière chose à savoir ? Ah oui ! J'habite à Oneirios et je suis incarné(e) par Rihanna. Vous avez finit vos questions ? Je peux vous tuer maintenant ?

By Me
Comment suis-je ?

Tirant une dernière bouffée de sa cigarette de ses lèvres peintes rouge vif, son regard changea d’emplacement vers un tronc d’arbre mourant. Elle ressentait les yeux de toutes ses pauvres virés sur son corps, sur ses hanches et sur ses seins de grosseur moyenne. En temps normal, cette femme serait qu’excentrique, rien de plus, certainement pas une beauté fatale qui pourrait faire évanouir un homme d’un seul regard, mais ses pouvoirs de succubes lui permettait de ressemblé à une déesse maléfique tout droit sortie des ténèbres. La femme du diable. Habillé d’une robe en soie rouge, à peine touchant ses courbes, elle ressentait l’air frôlé, sous la robe, son corps. Il faisait un peu plus froid que d’habitude, mais rien à être soucieux de. Fini sa cigarette, elle le laissa tomber sur le sol, puis l’écrasa de son talon haut noir. Son habit changea rarement, le seul temps où elle mettait de quoi de plus extravagant était les journées de bal ou de grands évènements. Ses longs cheveux caramel descendaient en cascade le long de son dos, couvrant sa peau foncée des regards pervers. Elle n’était pas de couleur blanche, mais ici, les races ne se distinguaient que par les particularités magiques des espèces et non par la couleur de la peau. Elle était incapable d’imaginé un monde différent de celle-ci, où la magie ne régnait pas, mais plutôt la raison. Elle aimait ce désordre continuel. Rien n’était sûr, même les saisons qui changeaient sans préavis la séduisaient. À vrai dire, cette température ressemblait bien son tempérament. Elle était du genre à ressentir de la haine pour une personne, à un tel point qu’elle le verrait bien mourir, puis, une seconde plus tard, vouloir le baiser. Ainsi, ayant ce comportement continuellement changeant, il est tout naturellement impossible pour elle d’aimer. De ses 932 ans, elle n’a jamais ressentir quel compte sentiment d’amour pour une personne et elle croit bien que pour le reste de ses jours, jamais elle n’aimera. Cependant, bien qu’elle ne ressente jamais la même chose pour une personne, ce qui est certain est son silence. Elle parle peu, laisses sous-entendes rien et est bref dans ses propos. Dans un film d’action, c’est la vilaine qui tue sans attendre et sans expliquer pourquoi elle tue, celle qui intrigue les spectateurs. Déposant sa main sur la porte en bois, elle poussa lentement, jetant un coup d’œil à la clientèle. Elle le voyait, dans le coin le plus sombre de l’établissement, un homme habillé tout en noir, l’observant. C’était lui son client, son nouvel employeur de nuit. L’étranger ne cacha pas sa surprise sur la délicatesse du corps de Lady Cambridge. C’est vrai que c’est dur à croire que ce corps si mince et fin puisse tuer un être humain plus fort qu’elle, mais voilà que l’homme en noir ignorait la manière dont elle y parvenait et ceci restait un secret. Sa voix parsemée d’un accent british le salua d’un simple bonsoir et l’étranger la salua en retour…

Because it's my story

Ne me demandez pas comment je suis née, croyez-moi, même moi je l’ignore. Quand vous aurez vécu pour 932 ans, vous me diriez après si vous vous rappelez toujours de comment vous avez vu le jour. Après 900 ans, vous avez retrouvé la vie environ une quinzaine de fois, alors la première perd de l’importance environ après la sixième fois. La dernière fois fut il y a environ 117 ans, mais je m’en rappelle toujours comme si c’était hier. Il y a comme un après gout de sang pourris dans ma bouche à chaque fois que j’y pense. Si vous croyez qu’un succube ne peut pas ressentir la douleur, je vous jure que non. Même moi, avant ce jour, je croyais que la souffrance était impossible pour ma race, mais je vous assure, elle l’est. Malheureusement, je m’étais retrouvé dans une cellule du roi Unseelie et tout connait sa cruauté et sa préférence pour le sang. J’avais besoin d’un peu de gouttes de thés et quelqu’un m’avait assuré qu’elle connaissait un moyen très efficace d’en faire rapidement. Encore toute jeune à ce moment, je croyais pouvoir survivre sans mes pouvoirs et sans trop forniquer. Voilà que je me retrouvais, faible, fatigué et affamé, et cette femme, d’une gentillesse si rare, m’offrait le ciel. Du moins, on aurait dit le ciel à ce moment vu mon état dégradant. Je ressentais même mon corps vieillir, ce que je croyais impossible. Cependant, il y avait de quoi qui avait échappé mon attention, la beauté de cette femme. J’étais si concentré sur son offre, que j’avais oublié de me méfier de ce genre de femme. Seule condition était de la suivre avec un bandeau sur le visage. Croyez-moi, cela semblait comme une petite requête à ce moment, j’avais déjà vu et fait pire pour des gouttes de thé. C’était une Sidhes, une femme qui servait le roi Unseelie.

Cette journée-là, il avait envie de faire souffrir quelqu’un, rien de nouveau, et cette personne était moi. Non, pas que j’avais de quoi contre lui ou lui contre moi, je ne l’avais jamais rencontré avait. J’avais appris jeune de resté loin du roi et de la reine, mais voilà que lui avait envie de saccager le corps d’une immortelle. La, si gentille, Sidhes m’avait choisi et séduit sans que je m’en aperçoive. Pour le reste, je vous évite les détails. Je ne peux que vous dire une chose, un succube peut souffrir. Grâce à la gentillesse d’un garde qui avait réussi à tomber son mon charme, j’ai pu m’enfuir et abuser de son corps jusqu’à ce que je retrouve la vie. C’est de cette manière qu’on retrouve la vie. Lorsqu’on se retrouve au plus bas qu’on puisse être, il ne reste qu’à revivre et, bien sûr, apprendre de ses leçons. La leçon que j’ai apprise de cette merveilleuse péripétie ? C’est simple : ne jamais arrêté de baiser, surtout quand c’est ce qui te garde en vie. Heureusement, je n’ai aucune cicatrice, seulement des séquelles psychologiques et comme tous les autres, ils finiront par s’évanouir, et de toutes nouvelles s’incrusteront. C’est le cycle de la vie.

Il y avait à un moment donné dans ma vie où j’ai eu une sœur, pas de sang, mais bien d’amitié. Je n’avais que 234 ans. Cette fille était tout le contraire de moi. Ses ébats sexuels étaient, comment dire ? Straight. La position missionnaire était son préféré, voilà! Alors que moi, oh! Je préférais expérimenter, changer de position chaque minute, abuser de celui ou celle qui se retrouvait dans le même lit que moi. Je n’avais pas de préférence, hommes ou femmes, le plaisir était là, qu’importe. Mais voilà, quand on se retrouvait dans le même lit elle et moi, on était plus nous-mêmes. Il y avait toujours un je-ne-sais-quoi dans l’air. On était comme… À vrai dire, il n’a aucun mot pour nous comparer, on était unique. Même ceux qui se joignaient à nous nous le mentionnaient. On était unique. Alors, qu’est-ce qui s’est passé pour nous séparer ? Elle est morte. Je ne sais toujours pas comment, mais un jour, après avoir cherché pour quelques jours, je retrouvai sa tête sur un mur, de quoi servir comme exemple. Je n’ai jamais su ce qu’était l’exemple, je sais simplement que tout le monde refusait de me parler cette journée-là. Je n’ai jamais compris la raison. À vrai dire, c’est drôle comment la raison n’existe pas dans ce monde. Même s’il y a des jours où je me demande ce qui s’est passé à cette maudite raison, je crois que je préfère vivre sans. Si elle existait vraiment, je ne serais pas vivante. Je crois bien que c’est le manque de raison qui a donné naissance à nous, les succubes et les incubes. Nous sommes nées de cette folie.

Pour ce qui de mon surnom, je l’ai toujours eu. Lors de ma jeunesse, de ce que je peux bien me rappeler, je vivais avec une famille du nom de famille Cambridge. Ce n’était pas n’importe quelle famille, c’était une famille de puissance, noble. Ainsi, de là est venu le surnom Lady Cambridge, de mon titre de noble. Je ne sais pas si c’était ma famille personnelle ou bien une famille que je servais ou qui m’ont adopté. Je sais seulement que mon nom vient de là. Pour ce qui est de mon prénom, rares sont ceux qui l’apprennent et habituellement, c’est avant qu’ils ne meurent, et je le préfère ainsi. Mon deuxième surnom, celui de Red Beauty est apparût il y a 116 ans, quand j’ai découvert mon gout pour le sang et la mort. J’étais devenue talentueuse, et je le suis toujours, même si je n’exerce plus le même métier qu’avant. Je n’étais pas nécessairement chasseuse de primes, mais de quoi dans ses environs, de quoi d’un petit peu plus sanglant, nécessitant plus la discrétion que les armes voyantes. J’ai aimé ça, de tous les métiers que j’ai dû exercer, ce fût mon préféré. Mais enfin, mon maître c’est retrouvé sans tête un jour et moi sans emploie. C’est pour cette raison que je travaille aujourd’hui dans un Tea House. Je n’aime pas tant ça, mais cela me permet d’exercer une autre vie la nuit. Une qui m’inspire et qui me garde en vie. Encore aujourd’hui, quelques étrangers demandent mes services. Hélas, ils deviennent de plus en plus rares.



Halia

♦️ Age : 19
♦️ Comment as-tu rejoint le forum ? Pub sur un autre
♦️ Qu'en penses-tu ? J'aime le décor.
♦️ Une requête ? Je veux voir la fée des dents.
♦️ Un double compte ? No
♦️ Code dans le règlement Lady Cambridge sert avec dévotion Cantiques Sanglants
♦️ Un dernier petit mot d'amour ? Je serai bref : Green tea please ! Thank you. 3406960028
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MessageSujet: Re: Green tea please ! Thank you.   Green tea please ! Thank you. EmptyLun 4 Mar - 17:52

Fini!
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Green tea please ! Thank you.

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